dimanche 29 novembre 2009

Parrini - by Ti et Amélie

La culture d’entreprise est arrivée dans les années 1980 chez les anglo-saxons qui privilégient la performance, le talent, l’ingéniosité.
Le succès d’une entreprise amène la question de la culture d’entreprise ; on constate qu’elle est fondamentale.

Le paternalisme, l’histoire, sont d’autres éléments allant de paire avec la culture d’entreprise.
Là où la France, les USA, l’Angleterre ont fait le pari d’injecter des fonds dans leurs armées, le Japon et l’Allemagne, privés de leurs armées après la guerre, ont mené une guerre économique. Ils sont les plus riches d’un point de vue éco en Asie et en Europe.

La culture d’entreprise est un instrument, elle a des caractéristiques que l’on peut faire varier.

Les com. interne et externe doivent suivre une logique, une cohérence.

L’identité d’entreprise passe également par des choix vestimentaires mais cela se différencie de la culture de métier (médecins etc).

Lévi-Strauss précisait qu’il n’y avait pas de culture dominante. En revanche on peut affirmer qu’il y a des cultures d’entreprise fortes, assurant la pérennité de l’entreprise, et d’autres faibles, la mettant en péril.

On a instrumentalisé la culture d’entreprise. On l’a segmentée pour mieux la comprendre et en faire quelque chose de concret. Elle appartient à une stratégie de l’organisation mais demeure une idéologie managériale, car elle tente de faire changer un savoir être comme elle changerait un savoir faire.

« Chaque entreprise se conduit comme un microcosme humain spécifique, elle constitue une société particulière avec sa structure et ses règles du jeu, ses normes et ses valeurs, ses idéaux et ses rêves, ses passions et ses luttes, mais aussi ses compétences et ses faiblesse propres. Elle est cela parce qu’elle est composée d’êtres humains et fabriquée par eux au cours d’une histoire marquée par des épisodes critiques : affrontements, projets, réalisations, crises, succession, fusion… » Raymond Reitter.

« Microcosme » : ensemble circulaire clos. Implique une définition de la culture d’entreprise cloturante. S’oppose à une définition de l’organisation comme un système ouvert tel que les systémiciens de l’école de Palo Alto définissent le système.

Pour comprendre la culture d’entreprise il faut chercher à savoir comment l’organisation se définie, et décider comment nous, chercheur ou intervenant, la définissons. C’est le point de vue épistémologique de l’organisation.

L’organisation est une réalité conceptualisée.

« Normes et valeurs » : l’organisation est un système normé. L’activité de l’orga consiste en l’élaboration d’activités mesurables et pouvant être soumises à l’évaluation. Ce sont les normes organisationnelles qui permettent à une entreprise d’attester de son existence.
Un écrit de communication (registre etc) n’existe pas sans normes. Personne ne peut déranger à une norme. Par exemple si j’écris juste sur une affiche « Toute personne étrangère au personnel ne peut entrer ici », je ne pourrais pas donner de sanction à une personne étrangère qui est entrée ; mais si je fais passer cet écrit dans le règlement, en norme, je le pourrai.

« Histoire marquée par des épisodes critiques » : cf les ethno méthodes : façon d’observer le terrain par un système de recueil de données qui tend à l’exhaustivité et qui concerne tout phénomène humain et son environnement. Catégorisation.

On peut constater que le caractère humain composant une entreprise impose, selon Reitter, une culture unique et spécifique.

« L’entreprise est un système sociale n plus d’un système économique et technique ; elle a ainsi toutes les caractéristiques d’une société humaine avec son histoire propre, ses valeurs centrés sur le travail, les relations interprofessionnelles et hiérarchiques, et son insertion dans une société globale elle-même porteuse de culture » dit Renaud Sainsaulieu dans
Sociologie de l’Entreprise Organisation Culture et Développement.
L’entreprise est un lieu de productions de valeurs collectives et de normes, de symboles et de codes, qui lui permette d’acquérir sa propre identité et de construire sa propre culture.
On peut même remarquer des micro-cultures dans un grand groupe par exemple :
Micro-culture dans l’entreprise de Paris, dans celle de New York etc.
Culture d’entreprise : « nous », esprit de groupe.

L’entreprise est productrice de système de représentations et de cultures. Elle n’est pas seulement un réceptacle de cultures sociétales, communautaires ou professionnelles (comme l’école, la famille, le quartier…). L’entreprise est source d’apprentissage culturel. Sainsaulieu met en relation culture d’entreprise et identité.

Gestion de RH :
- Ouverture d’une porte de réflexion sur les chiffres ; partie créative, partie de réflexion.
- L’individu dans la collectivité, « le groupe est plus que la somme des individus ». groupe qui a une identité propre.

Syndicat moyen de com° ascendante, porte une parole collective, la voix de l’individu n’intéresse pas la gouvernance. La gouvernance, choix politique d’une organisation.
Invasion de l’organisation ds la vie individuelle.
Une fois les traits de la culture d’entreprise identifiés, ils vont être perfectionnés pour être mieux identifiables.
Les anciens : institutionnalisation.

Knowledge management.
Faire un système au-delà des personnes qui le composent : cette somme correspondrait à la culture d’entreprise.
Transformer l’acteur professionnel en supporter.

Le fond de la culture d’entreprise « normalise » les relations.

La culture d’entreprise permet de mobiliser l’ensemble des salariés autour d’un objectif ou d’un projet d’entreprise qui résulte de la persévération de la culture et la défense de son système de valeurs collectives.

Les rapports humains sont régis par la hiérarchie, soit par les motivations ou les représentations que chacun se fait de cette entité qu’est l’entreprise.
L’entreprise produit des modèles culturels qui sont le fruit des représentations sociales de chacun de ses membres (idée de Sainsaulieu).
La culture apparaît comme « le réservoir intériorisé transmis et soigneusement élaboré par l’Histoire d’un ensemble de valeurs, de règles, et de représentations collectives qui fonctionnent au plus profond des rapports humains ».

La sociologie des entreprises. Bernoux
Un groupe, une entreprise, une organisation se constitue et ne peut pas fonctionner sans un lien libidinal incluant les concepts Freudien d’amour et de rejet, de narcissisme et d’identification.
Ce type d’approche répond à la question de la création de l’attachement, voir de la complicité, voir de l’affectif présent dans tte relation et qui permet à l’organisation de tenir et de durer.

La culture d’entreprise trouve sa source ds le « patrimoine des valeurs affirmées où latentes cultivé par l’entreprise, elle exprime la manière dont cette entreprise veut être perçue par ses principaux publics ». Nicole Hebret.

Culture corporate global est le résultat d’une expérience des modèles de savoir être et de savoir faire, des capacités à être d’avantage en prise directe avec les réalités sociales, économiques, et culturelles actuelles. Cette culture d’entrepris veut accroitre la cohésion sociale, le sentiment d’appartenance, la motivation.
Dans un but de rentabilité accrue par plus de productivité dans un contexte hors crise.
Amélie : On peut parler d’instrumentalisation de la culture si celle-ci…de créer une…artificielle injectée dans l’entreprise dans le but d’inculquer au salarié l’identité commune. Le premier moteur de la mise en action de la culture d’entreprise est la communication.

En résumé, la notion de culture d’entreprise est attachée à des concepts comme l’identité, la représentation, les rites et les rituels, les rumeurs. La culture d’entreprise s’associe à la corporate culture c’est à dire à l’image.
Elle peu s’auditer en fonction de la détermination de ses différents traits. Elle a à voir avec l’interculturel.

Liens institutionnalisés, le « je » devient « nous »

Théorie culturaliste (être) et théorie du manager (faire)

L’entreprise devient une part de nous-mêmes et on part avec. Lorsqu’il y a des turbulences on secoue le groupe et les individus.

« L’entreprise est dépendante du contexte »

Touche les liens groupaux et les liens individuels

La culture d’entreprise va générer une dépendance des individus. Identité.
Illusion groupale

Tout ce qui va faire du bien au groupe, à l’individu et va renforcer son lien à l’organisation.

Quelles relations entre communication managériale, institutionnelle et la culture d’entreprise ? Quels outils ? Quel type de communication ?
Communication engageante (Bernard), com persuasive.
Com interne.

La com est à la base de la culture d’entreprise. Les gestionnaires la travaillent mais sans les termes de gestionnaires (rentabilité etc)
Organisation : réelle, symbolique, culturelle, imaginaire

La culture d’entreprise est relative à une intention managériale.

Partiel
Article sur entreprise.
Les « éléments saillants » de la culture d’entreprise.
Analyse sémiologique si photo.
Quelle entreprise ? Thèmes abordés par le journaliste et le manager ?
Recherche de sens et recherche d’adéquations, de congruences.

Exemples : IKEA

Thème : inauguration d’un nouveau magasin, alcool dés le matin etc
Donc la culture d’entreprise est en appui sur la tradition, les coutumes suédoises. Et donc créativité.

Thème : tutoiement
Donc proximité et confiance

Penser la culture d’entreprise en termes de stratégie

Thevenet
Godelier

Une identité émerge sur un fond social
Idéologie du leader
Le fondateur est-il le manager ?

Pour cerner une culture d’entreprise, on recueil des données :
- L’origine de l’organisation
- Les empreintes
- L’histoire
- Réputation
- Le produit, la culture de produit : comment le fondateur est-il inséparable du produit, comment le produit le cache etc ? culture du nom.

Partiel : analyse du texte.
Quelle stratégie ? A justifier.



Catégories :
Fondateur
Histoire
Métiers
Valeurs
Signes et symboles

Sur quelle hypothèse, sur quel système, est fondée l’entreprise ?
Recherche des logiques.
Création d’un nouveau désir.

Fondation de l’entreprise : un moment donnée, temporel.

Choix et expérience du fondateur.

Le fondateur devient une figure emblématique. Nom puissant qui suscite des significations.

Contexte
Challenge initial
Principes fondateurs
Recherche de significations collectives :
En quoi a cru à l’époque le fondateur ? Ensuite, l’histoire a-t-elle modifié ce crédo (ex : FNAC : les fondateurs étaient communistes et voulaient la culture accessible pr tous aujourd’hui c’est plus tellement le cas) ?

Le groupe va s’approprier le crédo du fondateur.

Rappel : Nous avons le droit au cours pendant le partiel (article sur une entreprise et en dégager la culture d'entreprise.)

1 commentaire:

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